La qualité de l'air à Paris s'est améliorée dupuis dix ans. En 1998, la Préfecture de police (PP) avait mesuré l'exposition des Parisiens à la pollution atmosphèrique, selon leur mode de déplacement - à pied, en voiture, en bus, à vélo ou en métro. La même enquête, menée dix ans plus tard, révèle une chute spectaculaire des taux du gaz carbonique, responsable des maladies pespiratoires chez l'homme.
D'après le texte, on peut conclure qu'à Paris .